La prestation de Tomer Sisley dans Vortex est saluée sur la toile. Lors d’un entretien, l’acteur est revenu sur une période de sa vie qui l’a aidé dans ce rôle.
Une série hors norme
Tomer Sisley est à l’affiche de la nouvelle série Vortex, lancée ce début janvier par France 2. Le feuilleton, aux relents de Retour vers le futur, est un thriller inédit dit d’anticipation, dans lequel l’acteur joue le rôle d’un capitaine de police à Brest prénommé Ludovic. Grâce à la réalité virtuelle, ce dernier saisi l’opportunité d’une faille spatio-temporelle pour reprendre le contact avec sa femme décédée 27 ans plus tôt.
Il ne dispose alors que de quelques jours pour changer l’avenir en lui évitant cette fois de mourir, malgré les risques que cela comporte. Un film qui ravi les internautes qui l’ont mentionné sur Twitter, saluant au passage la prestation de Tomer Sisley. « J’aime bien les images et le jeu d’acteur. Je félicite la réalisation et les acteurs… », écrit notamment l’un d’entre eux.
Des fans séduits
« Je viens de finir l’épisode 1 de Vortex sur @France 2 en ce moment, et franchement ça tue, j’adore, je suis à fond dedans ! », « La série #Vortex avec Tomer Sisley sur France 2 a vraiment l’air top ! Là je vois que ça a capté un fantôme alors ça me plaît beaucoup ! », peut-on encore lire sur la plateforme social.
Ce lundi 2 janvier dans les colonnes du magazine Télé-Loisirs, Tomer Sisley a évoqué les péripéties du tournage. « Pour nous aider, la production avait fait livrer dans le studio des tonnes de sable et fabriqué de faux rochers, ce qui rend invisible la différence entre la vraie plage où ont été tournées les séquences de 1998 et le décor virtuel de 2025, dans lequel a lieu la fameuse faille temporelle qui permet à Ludo de remonter », explique-t-il.
Une expérience inoubliable
« J’ai eu droit à deux heures et demie de maquillage tous les matins pendant soixante jours pour poser ma perruque et ma barbe poil par poil. Un vrai challenge pour moi », relate ensuite l’acteur franco-israélien qui a évoqué une expérience personnelle qui l’a aidé dans le rôle de Ludovic : la séparation il y a des années avec la femme de sa vie.
« Il se trouve que la femme avec laquelle je suis marié aujourd’hui, j’étais déjà avec elle quand j’avais 25 ans. J’étais fou amoureux et, quand on s’est séparés à l’époque, j’ai vécu super malheureux pendant dix-sept ans, voire dépressif. Donc j’ai pu assez facilement me projeter dans la peau de ce pauvre Ludo », a-t-il révélé.
