Depuis l’année 2015, l’actrice Corinne Masiero joue le rôle du Capitaine Marleau dans la série du même nom créée par Josée Dayan. Cette dernière avait offert le rôle à l’actrice, qui avait alors proposé de prendre 20 kilos pour le décrocher. Depuis, la comédienne a su s’imposer avec sa touche personnelle dans cette série qui accueille de nombreux invités.
Une personnalité haute en couleur
En plus de son tempérament bien trempé, le personnage du Capitaine Marleau est célèbre pour son look distinctif avec sa chapka et sa parka, un style qui contraste fortement avec l’uniforme habituel des capitaines de gendarmerie.
Dans une interview accordée à Télé 7 jours, en kiosque le 6 mars 2023, Corinne Masiero a expliqué pourquoi son personnage ne porte pas d’uniforme. Elle a déclaré : « Je ne vais pas vous mentir, je déteste tout ce qui est uniforme. Pourtant, si Marleau n’en porte pas, ça ne vient pas de moi. Marleau, c’est le bébé de Josée Dayan. Les gens l’ont un peu oublié mais, au départ, c’était un personnage secondaire, une flic décalée qui enquêtait dans un téléfilm, avec une silhouette très reconnaissable, à la Peter Falk dans Columbo ».
La raison pour laquelle Corinne Masiero n’aime pas les uniformes est liée à ses valeurs, mais aussi à son passé tumultueux. « En général, quand je vais à une manifestation et qu’il y a des uniformes en face, je n’aime pas trop. Je suis plutôt avec ceux qui se font gazer », a-t-elle déclaré avant d’ajouter : « Une fois, à la gare de Lille, des douaniers en tenue sont venus me saluer gentiment. J’étais assise, et mon premier réflexe, ça a été de chercher dans mes poches et de me dire : ‘Merde, merde, pourvu que je n’aie rien d’illégal sur moi' ».
Une réaction étonnante
Cette réaction instinctive est due aux années difficiles que l’actrice a vécues. En effet, elle a connu la drogue, l’alcoolisme, la prostitution et la vie de SDF. « À une époque, j’étais femme de ménage parfois, ou je gardais des gosses comme ça pour gagner de quoi pouvoir payer certaines choses, ou je vendais mon cul. Mais les gens qui me fréquentaient, même les gens intimes, les gens de ma famille, ne se doutaient pas de ce que je pouvais faire parce que j’avais aussi, il faut le dire, un peu honte », avait-elle déclaré dans Sept à Huit en janvier 2019. Elle a décidé de mettre fin à ce mode de vie pour « se respecter et se faire respecte ».
Depuis, Corinne Masiero a su rebondir et devenir l’une des comédiennes les plus populaires du moment. Elle est notamment appréciée pour son franc-parler et son engagement en faveur des causes qui lui tiennent à cœur, comme la défense des travailleurs du spectacle ou la lutte contre les violences policières.
C’est donc sans surprise que la comédienne de 57 ans a récemment donné une interview à Télé 7 jours, dans laquelle elle a abordé son rôle emblématique de Capitaine Marleau. Si cette dernière est connue pour son look décalé, avec sa chapka et sa parka, elle ne porte pas d’uniforme, contrairement aux autres capitaines de gendarmerie.
Confidences stupéfiantes
Interrogée sur cette particularité, Corinne Masiero a expliqué : « Je ne vais pas vous mentir, je déteste tout ce qui est uniforme. Pourtant, si Marleau n’en porte pas, ça ne vient pas de moi. Marleau, c’est le bébé de Josée Dayan ». En effet, la détective était à l’origine un personnage secondaire d’un téléfilm, avec une silhouette très reconnaissable, à la Peter Falk dans Columbo.
Mais si Corinne Masiero ne porte pas les uniformes dans son cœur, c’est aussi en raison de son passé difficile. « En général, quand je vais à une manifestation et qu’il y a des uniformes en face, je n’aime pas trop. Je suis plutôt avec ceux qui se font gazer », a-t-elle confié. La comédienne a en effet connu la drogue, l’alcoolisme, la prostitution et la vie de SDF. « À une époque j’étais femme de ménage parfois, ou je gardais des gosses comme ça pour gagner de quoi pouvoir payer certaines choses, ou je vendais mon cul », avait-elle révélé dans Sept à Huit en janvier 2019.
Cependant, Corinne Masiero a décidé de mettre fin à ce mode de vie pour « se respecter et se faire respecter ». Depuis, elle s’investit pleinement dans sa carrière et ses engagements, avec une sincérité et une authenticité qui ne laissent personne indifférent.
