Paul El Kharrat, connu grâce à sa participation dans l’émission de TF1 ‘Les 12 coups de midi’ est désormais une personnalité emblématique du petit écran. IL cartonne au côté de Laurent Ruquier dans son émission ‘Les grosses têtes’. Récemment, le jeune homme qui souffre du syndrome d’autisme Asperger a fait des confidences étonnantes de sa vie dans son livre ‘Bienvenue dans mon monde.
Une nouvelle déroutante

Celui qui n’a laissé personne indifférent dans grâce à sa culture impressionnante a évoqué sans langue de bois le décès de sa grand-mère. Lorsqu’il a pris connaissance de son décès, sa réaction a été pour le moins déroutante pour ses proches, qui ne s’y attendaient absolument pas. Aujourd’hui, il revient sur cette séquence de sa vie, qui peut sembler au premier abord, stupéfiante …
« Si son autisme lui permet d’avoir une mémoire et des connaissances impressionnantes, qui lui ont permis de devenir l’un des meilleurs maîtres de midi sur TF1, de nombreux autres aspects le font souffrir. Sa part d’ombre et ses idées noires parfois suicidaires lui font vivre un calvaire, tout comme à ses proches. Malgré tout, depuis qu’il a été révélé au grand public sur le petit écran, Paul n’est jamais retombé dans l’anonymat », a rapporté le magazine people Voici dans sa dernière édition.
Des émotions qui n’apparaissent pas

Atteint d’autisme, Paul El Kharrat indique la raison pour laquelle il a l’impression de n’être jamais en phase avec les autres. « Parfois, je donne l’impression d’avoir un cœur de pierre car il n’y a pas d’expression sentimentale. On ne voit pas que je suis touché, comme si j’étais imperméable aux émotions. On dirait un Russe sous vodka… (Rires) », a-t-il confié sans langue de bois auprès de nos confrères.
Une attitude qui parfois lui a valu d’être critiqué. Mais ses proches ont bien conscience de sa différence et ne lui en tiennent pas rigueur lorsqu’il ne réagit pas comme la norme conventionnelle. Ce fut le cas notamment lorsque son père lui a annoncé le décès de sa grand-mère. La réaction de Paul El Kharrat a été pour le moins stupéfiante …
Une attitude involontaire

« Il a eu une réaction que je n’avais jamais vue de ma vie. Il est tombé par terre en larmes alors que je le pensais solide comme un roc. En conséquence, je n’ai pas géré mes émotions, tout s’est mélangé en moi et j’ai rigolé. Je conçois que ça puisse être déroutant », a-t-il indiquant, soulignant qu’il avait bien conscience que son attitude n’était pas adaptée à la situation. Selon lui, c’était complétement involontaire.