La célèbre comédienne, Marion Cotillard est une figure emblématique du petit et du grand écran. Celle qui cartonne en France, mais également aux Etats-Unis. La ravissante brune est très active sur les réseaux sociaux et s’implique régulièrement pour la cause animale et la protection de l’environnement.
Militante dans le coeur

Aujourd’hui, elle clame haut et fort son engagement pour la protection de l’environnement. « Militante au côté de Greenpeace depuis 2001, l’actrice a su mettre sa notoriété au service de l’environnement. En 2002, elle refuse notamment d’être égérie L’Oréal pour ne pas entrer en contradiction avec ses convictions… Un positionnement engagé qui n’empêche pas l’actrice de rester humaine », a rapporté le magazine people Public.
Il y a quelques semaines, elle s’est livrée sans langue de bois à nos confrères de ‘Marie Claire’. A cet égard, Marion Cotillard a évoqué quelques contradictions en abordant notamment sa passion pour les vêtements. « J’en consomme, là encore, beaucoup, beaucoup moins qu’avant, mais je dois bien avouer que quand j’achète aujourd’hui un vêtement, c’est plus pour me faire plaisir que par nécessité – tout en me questionnant quand même beaucoup », a-t-elle indiqué.
Une industrie qui s’adapte

Elle tente aussi de respecter son engagement dans le cadre de son travail. » Le cinéma est effectivement une industrie polluante. Mais il y a beaucoup de postes sur lesquels on peut intervenir. De plus en plus d’entreprises proposent d’ailleurs des audits pour aider les productions de films à être plus vertueuse. […] », a-t-elle confié, déplorant que les choses n’avancent pas aussi vite en France.
Avant de poursuivre : « Les États-Unis sont plus en avance que nous. […] Je me souviens sur le tournage d’Inception où Leonardo DiCaprio, très engagé sur ces questions, était là, des panneaux solaires fournissaient l’énergie nécessaire à toutes les machines ».
Une mise au point importante

L’épouse de Guillaume Canet déplore que le sujet du climat en trop peu mis en avant pas les gouvernements. « Le pouvoir abîme : quand on voit les guerres internes, les manipulations au sein des partis (…) Je suis dépitée par le non-engagement, par l’inaction et pire, par les actions qui vont à l’encontre de ce qu’il faudrait faire. », a-t-elle conclu.