Depuis plusieurs jours, les éboueurs de plusieurs villes de France ont décidé de faire grève pour protester contre la réforme des retraites. Elisabeth Borne a utilisé l’article 49.3 pour faire passer cette réforme en force, malgré le fait que 72% des Français sont contre, selon un sondage de l’institut Elabe pour BFMTV. Depuis janvier, de nombreuses personnalités du monde de la culture ont pris la parole pour exprimer leur opposition à la réforme et pour soutenir les manifestants.
300 personnalités du monde de la culture s’opposent à la réforme
Parmi les célébrités qui ont signé une lettre ouverte au président de la République dans les colonnes de Libération pour exprimer leur opposition à la réforme, on peut citer Audrey Fleurot, Camille Cottin, Philippe Katerine, Camélia Jordana et Michel Hazanavicius. Ils ont exprimé leur soutien aux manifestants qui luttent pour leurs droits.
Des manifestations qui dégénèrent
Pour se faire entendre, certains manifestants ont choisi des actions violentes en mettant le feu à des voitures, palettes en bois et poubelles dans les rues de Paris depuis le 6 mars 2023. Pierre-Jean Chalençon a été témoin d’une de ces scènes et a interpellé Anne Hidalgo sur BFM TV le 24 mars. Il a exprimé son mécontentement envers le gouvernement et le président de la République.
Des internautes en colère
Pierre-Jean Chalençon a également partagé une photo de sa rue envahie de déchets sur Twitter, suscitant la colère des internautes qui ont accusé Emmanuel Macron de mépriser la France d’en bas. La situation est devenue alarmante, avec des poubelles renversées, des cartons déchirés et des sacs éventrés jonchant les rues de Paris. Les internautes ont exprimé leur désarroi face à cette situation lamentable.
En conclusion, les éboueurs français se mobilisent contre la réforme des retraites. Ils ont reçu le soutien de nombreuses personnalités de la culture. Les manifestations ont dégénéré avec des actes de violence et de vandalisme. Les internautes ont exprimé leur indignation face à la situation, accusant le gouvernement de mépriser la France d’en bas.
