Chaque matin Guillaume Genton fait des heureux avec sa matinale sur Virgin Radio, « Le Morning sans filtre ». Un programme qui rencontre un franc succès avec des audiences en constante hausses. Face à ses auditeurs, il se lâche sans langue de bois. Récemment, il a abordé une anecdote au restaurant, qui n’a pas laissé ses auditeurs indifférents. Il a confié avoir été « ivre mort » …
Une émission qui cartonne

Guillaume Genton cartonne actuellement dans l’émission de Cyril Hanouna dans l’émission ‘Touche pas à mon poste’. Connu pour son franc parler, Guillaume Genton est également millionnaire. En effet, l’homme d’affaire de 31 ans est à la tête de plusieurs sociétés, dont le chiffre d’affaires est exponentiel. Aujourd’hui, le trentenaire est à la tête d’une fortune colossale.
Celui qui réussi tout ce qui touche a révélé récemment une petite anecdote qui l’a marquée au fer rouge. « Moi, ce que je déteste au restau, ce sont les desserts avec de l’alcool. Les Babas au rhum, les Coupes Colonel… Tout ça, je ne peux pas ! La dernière fois, j’étais dans un restaurant chinois, j’ai pris les beignets – c’est très bon – à la banane flambée… J’étais ivre mort », a-t-il indiqué.
Un dessert différent …

D’après le chroniqueur de TPMP, certains restaurants s’emportent un peu trop avec l’alcool dans les desserts. « Ils avaient tellement mis d’alcool… C’est insupportable. Ils avaient mis une bouteille entière ! », a-t-il annoncé avec son humour légendaire. Il a eu beaucoup de mal à se remettre de ce dessert un peu trop lourd en alcool, à son goût …
Bien qu’il gagne très bien sa vie, Guillaume Genton a annoncé récemment qu’il sortait moins au restaurant en raison de son emploi du temps surchargé. Malgré tout, il est très fier de son parcours et ne changerait les choses pour rien au monde. « En terminant TPMP à 21h20, je me couche vers minuit… et me lève à 4h30. Je sors donc moins. C’est un sacrifice, mais c’est un rêve d’enfant qui se réalise », a-t-il révélé au magazine people Public.
Il faut dire que l’entrepreneur est un accro au travail. Il a en effet compris très jeune qu’il souhaitait monter ses sociétés et aujourd’hui, il travaille avec une centaine de collaborateurs. Un business toujours plus florissant qui lui a permis d’avoir une situation financière très confortable… Récemment, il a évoqué plus en détail ses activités professionnels.
Un agenda surchargé

« Je démarre en vendant des petits sujets à NRJ 12, C8… Après j’ai commencé à faire des documentaires et des programmes de flux pour France Télévisions, Canal+. Ensuite, en 2019, j’ai monté Kennedy Agency, spécialisée dans l’habillage 3D des émissions, la création graphique, la réalité augmentée… Là on travaille avec Amazon, Netflix, Endemol, TF1. J’ai aussi une boîte de communication pour les entreprises, Blondinet, et un studio d’édition musicale, La Gamme, spécialisé dans les musiques pour la télévision. L’idée étant de maîtriser entièrement la chaîne de production », a-t-il indiqué.
Bien qu’il ait réussi sa vie, il reste discret sur sa rémunération. « Quand vous gagnez le salaire minimum alors que vous travaillez dur et qu’une personne dit toucher 20 ou 100 fois plus, ça génère de la frustration. L’argent divise notre société. Quand on en gagne beaucoup, il faut bien le dépenser, le redistribuer et avoir la décence de ne pas s’en vanter sur les réseaux sociaux », a-t-il annoncé.
Avant de poursuivre : « Je vivais dans un 6 mètres carré et je gagnais 480 euros par mois. J’avais deux euros par jour pour me nourrir. Je mangeais juste un double cheese au mac do. Je connais la valeur de l’argent. Mais quand j’ai commencé à gagner des sous, j’ai tout dépensé, même plus. A 20 ans, je claquais tellement qu’on m’a coupé l’électricité ».