L’histoire de Vanesa a fait couler beaucoup d’encre ces derniers jours. La fille a vécu un véritable calvaire en rentrant du collège, suite à une mauvaise rencontre. Récemment, les parents de la petite Vanesa ont brisé le silence et ont confié leur sidération et leur choc après l’annonce de la mort de leur fille. Ils se demandent comment cet individu a pu kidnappé et violé leur fille…
Un profil inquiétant
« Mis en garde à vue quelques heures auparavant, un homme donnera aux enquêteurs le lieu précis où il s’est débarrassé du corps de la jeune fille. En effet, Romain C. va avouer avoir enlevé, séquestré, violé et tué la fillette. Cet homme de 31 ans, papa, ayant déjà un casier pour agression sexuelle, est toujours entre les mains de la police qui tente de comprendre pourquoi il est passé à l’acte », a rapporté le magazine people Closer.
C’est l’effroi pour la famille et proches de Vanesa, qui sont toujours dans l’interrogation. Une tragédie épouvantable, qui en rappelle tant d’autres, qui malheureusement ont eu lieu en France ces dernières semaines. L’association La Mouette qui aide les familles de victimes, a pris la décision de les soutenir dans cette épreuve extrêmement douloureuse.
Des confidences poignantes
Questionnée dans l’émission de Cyril Hanouna ‘TPMP’, la présidente Annie Gourgue a détaillé l’état dans lequel se trouvait dans les parents de la jeune adolescente. « C’est beaucoup de tristesse. Ils se posent beaucoup de questions, ce sont des gens qui sont en France depuis à peine un an et quelques mois. Ils ne possèdent pas notre langue. C’est difficile pour eux aussi d’exprimer leur colère », a-t-elle confié.
Elle a également indiqué que le père de Vanesa souffre terriblement. Toutefois, il a une haine face à l’homme qui s’en est pris violemment à sa fille. Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances de cette tragédie. Le présumé violeur a déjà été condamné pour des actes de violences sexuelles lorsqu’il était mineur.
Une sidération totale
« Mais on sent très bien chez le papa, la colère commence à gronder, quand il a appris par exemple que ce triste individu était un récidiviste. Ils sont encore dans une phase de sidération. Ils se posent encore des questions : ‘Mais ce n’est pas possible, comment ça c’est passé ? Comment est-elle montée dans cette voiture ?’ Ce sont toutes ces questions qui reviennent et c’est cette tristesse qu’il y a dans leur maison », a annoncé la présidente Annie Gourgue.
