Clara Luciani est une chanteuse française qui a fait ses débuts en 2018 avec son premier album intitulé « Sainte-Victoire ». Avec son style pop et son écriture personnelle, elle s’est rapidement imposée comme l’une des voix les plus prometteuses de la scène musicale française.
Une carrière hors norme
Née en 1993 en France, Clara Luciani a commencé à chanter très jeune et a rapidement développé une passion pour la musique. Après des années d’expériences musicales variées, elle a enregistré son premier single « La Grenade » en 2018, qui a connu un grand succès en France. Cette même année, elle a sorti son premier album, « Sainte-Victoire », qui a reçu des critiques élogieuses pour sa combinaison unique de pop, de chanson française et de poésie.
Depuis la sortie de son premier album, Clara Luciani a continué à se produire dans de nombreux concerts en France et à l’étranger, rassemblant des foules de fans enthousiastes. En 2020, elle a sorti un deuxième album intitulé « Nue », qui a rencontré un grand succès auprès de la critique et du public. L’album met en valeur sa voix douce et puissante, ainsi que son habileté à aborder des thèmes universels tels que l’amour et la perte avec une sincérité et une vulnérabilité touchantes.
Une implication importante
Clara Luciani est également très impliquée dans la scène musicale française et soutient activement les artistes locaux. Elle a collaboré avec de nombreux autres musiciens pour créer des albums et des concerts uniques, montrant ainsi son engagement envers la communauté musicale française.
Récemment, elle a confié qu’elle avait beaucoup souffert durant son enfance en raison du harcèlement scolaire dont elle a été victime. « Ça a commencé vers l’âge de 6 ans. Les autres enfants se moquaient de ma taille. J’étais déjà très grande. On le voit sur ma photo de classe de CP, je fais la même taille que la prof. À 11 ans, je mesurais 1,76 m. Et puis, j’étais la première de la classe, et une fille un peu bizarre, qui aimait se réfugier dans les livres. « , a-t-elle confié.
Un harcèlement douloureux
Avant de poursuivre : « Et, quand on a des différences, ça ne loupe pas, malheureusement. J’ai été raillée : ‘La grande asperge !’, ‘Quel temps il fait là-haut ?’, ‘T’es moche’… Des petits malins s’amusaient à mettre des punaises ou des cartouches d’encre ouvertes sur ma chaise…J’étais très seule. Je me sentais rejetée, nulle, moche, et incapable de rentrer dans le moule. Ça a duré le temps du collège ».
