Hier, la célèbre animatrice télé et radio connue pour ne pas avoir sa langue dans sa poche, Christine Bravo a tapé du poing sur la table sur les réseaux sociaux. Celle qui s’est mariée récemment n’a pas hésité à dénoncer le traitement de sa mère, hospitalisée dans une clinique de Cannes à la suite d’une opération. Son état sera particulièrement préoccupant, selon sa fille.
Un franc parler unique
Autant vous dire que Christine Bravo n’a pas fait dans la dentelle. En effet, la mère de famille s’est ai pris à la clinique, qui selon elle aurait très mal géré l’opération de sa mère âgée. La présentatrice, qui officie désormais au côté de Laurent Ruquier dans Les Grosses têtes sur RTL, a littéralement tapé du poing sur la table sur une situation qui l’a mise hors d’elle.
Celle qui n’hésite pas à plaider haut et fort les causes qui lui tiennent à coeur, a récemment révélé sa peine immense. « Triste journée, mes amis. Mon oiseau bleu, si cher à mon cœur, s’est caché pour mourir. Il a choisi la discrétion d’un nid où pondaient ses copains », a-t-elle lâché sur la toile, déplorant le comportement irresponsable d’une enseigne de jardineries populaire.
Une histoire bouleversante
Hélas, Christine Bravo a été touchée personnellement par une terrible histoire. En effet, elle n’a pas hésité à révéler sur les réseaux sociaux, où elle est très active des photos de Cécile, la mère d’une amie d’enfance récemment hospitalisée au sein d’une clinique du Pré Saint-Gervais dans le 93.
« L’animatrice a alors fait le parallèle avec sa propre mère, récupérée dans un état déplorable à sa sortie d’une clinique de Cannes », a rappelé le magazine people Voici dans sa dernière édition. Il faut dire que l’animatrice a, bien évidemment été traumatisée par le sort réservé à sa mère, avec qui elle a toujours été complice et fusionnelle.
Acte de maltraitance
« Elle était devenue impotente, elle ne pesait plus que 31 kilos. Elle faisait soi-disant des séances de kiné ! Elle hurlait de douleur, appelait au secours, ne mangeait plus, je la retrouvais dans son fauteuil, endormie, la tête sur sa tablette. Les infirmières étaient en nombre très insuffisant. Elle marinait longtemps dans sa couche, pleurait sans discontinuer », a-t-elle annoncé avec beaucoup d’émotions.
