Le palais serait inquiet pour la princesse Charlène dont la santé mentale ne serait pas toujours au top.
Une terrible angoisse

C’est du moins ce qu’affirmait l’année dernière le magazine Freizeitwoche. La rumeur est rappelée par le média Kurier selon qui l’épouse du prince Albert II de Monaco se laisserait aller à quelques croyances africaines, qui font craindre pour sa santé mentale et sa capacité à prendre soin des jumeaux de la couronne, Jacques et Gabriella.
Décrite comme une personne très « religieuse », l’ancienne championne de natation cependant aurait versé dans un univers spirituel qu’elle aurait de plus en plus du mal à maîtriser. « Mais je crains qu’elle n’ait plongé un peu trop profondément dans le monde spirituel zoulou avec ses superstitions, ses fantômes et ses démons », commente un proche de Charlène de Monaco.
Une santé qui se détériore ?

Le prince Albert ne saurait quoi faire concernant cette situation. « Son mari ne sait pas vraiment comment va sa santé non plus. Pour leur santé mentale. C’est pour ça qu’il la ménage », a ajouté la même source qui a souhaité garder l’anonymat. Charlène de Monaco garderait à son cou un collier zoulou de la forme d’un chapelet qui aurait une signification personnelle.
La première dame du Rocher s’affiche pourtant en pleine forme ces derniers temps. Si elle était apparue proche de son mari lors de la célébration du dixième anniversaire de la Fondation Princesse Charlène, au cours de laquelle les deux époux avaient même échangé un moment tendre devant les photographes, cela n’a cependant pas suffit à faire taire les rumeurs contre leur couple.
Des tensions palpables

Des tensions ont en effet été évoquées une fois de plus récemment concernant le souverain de Monaco et son épouse. Le magazine Bunte notamment évoquait une certaine distance entre les deux époux lors des funérailles de l’ancien archevêque de Monaco, Bernard Barsi, qui avait officié leur mariage en 2011.
« Au lieu de s’appuyer l’un sur l’autre, le prince Albert et Charlène de Monaco semblaient soucieux de maintenir une distance. Est-ce que cela annonce une nouvelle crise ? », commentait la publication. Des allégations qui ont cependant été démenties par le prince Albert II au cours d’une interview accordée au magazine People.