Elle est une célébrité, connue pour ne pas avoir sa langue dans sa poche. En effet, Brigitte Bardot a marqué les esprits avec ses prises de parole très cash et notamment envers des causes qui lui tiennent particulièrement à coeur. L’ex actrice, qui a fait de son cheval de bataille la protection des animaux et de l’environnement, a récemment tapé du poing sur la table contre le gouvernement, qui selon elle n’agit pas pour cette cause.
Un combat très intense

« Depuis quarante-sept ans, je demande à tous les gouvernements, je les supplie, je les engueule, pour qu’ils m’accordent les quelques urgences prioritaires qui pourraient faire avancer la protection animale », a-t-elle confié. Aujourd’hui, elle est épuisée de tomber face à des gouvernements qui se succèdent et qui ne répondent pas fondamentalement aux questions sur la protection des animaux.
Avant de souligner : « J’en ai marre, j’en ai ma claque ! Allez vous faire voir ! Je veux obtenir à n’importe quel prix une prise de conscience des atrocités, des cruautés, de tortures et des souffrances que les animaux subissent chaque jour en France dans une indifférence générale ».
Un règlement de compte en public

Il y a quelques mois au micro de nos confrères de Sud Radio, elle n’a pas maché ses mots. « Je n’obtiens rien. Au contraire, c’est pire ! Les accords passés entre Macron et les chasseurs sont un véritable honte, une pêche aux voix électorale obtenues dans le sang, la mort, la disparition de milliers d’animaux de nos forêts », a-t-elle lâché.
Depuis quelques semaines, Brigitte Bardot va très mal. Interrogée par nos confrères du Parisien, l’ex comédienne a déclaré : « Je vais très mal. Je ne veux plus que cette foire [chevaline] existe. Ni que la France soit la plaque tournante d’un commerce scandaleux de chevaux condamnés à mort. Je n’ai jamais baissé les bras. », a-t-elle annoncé.
Une bataille qui lui sert de moteur

Avant de poursuivre : « Parfois, oui, j’ai été découragée, car il en faut une puissance de courage, d’obstination et d’amour pour continuer envers et contre tout pendant cinquante ans. Je vais très mal. Le moral à zéro. Ma fondation continuera après moi, j’ai pris mes dispositions pour que les choses continuent après ma mort. J’ai une équipe formidable« .