AccueilActualitésAffaire Morandini, accusé de "prédateur", l'avocat d'une victime livre des nouvelles effroyables

Affaire Morandini, accusé de « prédateur », l’avocat d’une victime livre des nouvelles effroyables

Il est une figure emblématique du petit écran depuis plusieurs années. Jean-Marc Morandini officie depuis plusieurs années sur Cnews, mais une fois n’est pas coutume , ce n’est pas son émission qui crée la polémique. En effet, le trublion de C8 est au centre de l’actualité en raison de sa condamnation de justice, qui n’est pas passé inaperçu.

Une condamnation très médiatique

« Alors que Jean-Marc Morandini a été condamné à un an de prison avec sursis pour « corruption de mineurs », l’avocat d’un des plaignants Me Francis Szpiner a qualifié l’animateur de « prédateur » auprès de nos confrères de BFMTV », a rapporté le journal Le Dépêche dans sa dernière édition.

Le présentateur télé Jean-Marc Morandini a écopé d’une peine d’emprisonnement d’un an avec sursis en début de semaine. Il est accusé de « corruption de mineurs » qui se sont déroulés sur trois adolescents entre 2009 et 2016. Les échanges auraient eu lieu par SMS et par mail et aurait pour objet des communications à caractère sexuel.

Un récit effroyable

Quant à l’avocat d’une adolescente tombée dans les filets de l’animateur télé, Me Francis Szpiner, a récemment déclaré que « Jean-Marc Morandini qui contestait les faits et était dans le déni ait été reconnu coupable par un jugement motivé ». Il a souligné que l’animateur phare de Cnews était « dans le déni ». Ce dernier aurait également organisé un casting à domicile, où il aurait choisi ses victimes.

« Je maintiens que nous avions affaire à un prédateur. Nous avions quelqu’un qui avait organisé un faux casting d’un film qu’il voulait faire mais dont il n’avait acheté ni les droits, sans scénario, sans réalisateur, à son domicile et sans témoin pour obliger un jeune homme à se masturber devant lui », a poursuivi Me Francis Szpiner.

Il a fait appel

Jean-Marc Morandini devra également respecter une obligation de soins. Au cours de son procès, Jean-Marc Morandini avait reconnu une « imprudence » mais annoncé que son attitude s’appuyait sur de l' »humour » et un échange uniquement « virtuel ». Il a également déploré un « lynchage médiatique ». Aujourd’hui, il a décidé de faire appel de la décision de justice, ce qui signifie qu’il est désormais de nouveau présumé innocent. Affaire à suivre …

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